SUR LE CHEMIN DE LA GUERISON...

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Explication developpée + schéma de la vestibulite

 

LES VULVODYNIES:

 

          Qu'est ce que c'est ?

 

Les vulvodynies* sont des « maladies de la vulve ».

Il s’agit d’un inconfort vulvaire chronique sans lésion réelle, parfois entrecoupé de rémissions, qui se traduit par des sensations douloureuses localisées sur tout ou partie de la vulve (sensation de brûlures, d’élancement, de déchirure, de tiraillement, etc.).

Parmi ces vulvodynies, il en est une appelée « vestibulite », car elle est localisée sur la zone de la vulve dite « vestibule », à l’entrée vaginale. C’est la plus fréquemment diagnostiquée.

Responsables de « dyspareunie » (douleurs pendant les rapports sexuels), ces douleurs vulvaires touchent 5 % des femmes âgées de moins de 25 ans ; toutes classes d’âges confondues, c’est une femme sur six qui en souffre

 

La vulvodynie se définit comme une douleur chronique ou périodique souvent généralisée sur l’ensemble de la vulve (à la différence de la vestibulite, localisée à l’entrée vaginale). Les vulvodynies sont souvent responsables de dyspareunie, c’est-à-dire de douleurs durant les rapports sexuels, allant parfois jusqu’à rendre impossible toute pénétration vaginale.


Cette douleur chronique peut être ressentie :

  • soit lors des relations sexuelles (lors de la pénétration ou des contacts avec la vulve) ;
  • soit de manière spontanée, constante et continue, même en dehors des relations sexuelles (mais la pression vulvaire et les contacts sexuels tendent à l’aggraver).

L’un des symptômes révélateurs est la dyspareunie, mais la douleur peut également se manifester dans d’autres situations de pression exercée sur la vulve (vélo, équitation, vêtements serrés, serviettes périodiques, etc.).


La douleur vulvaire alors ressentie peut s’apparenter selon les femmes à :

  • une brûlure ;
  • un échauffement ;
  • une irritation ;
  • une douleur fulgurante dans toute la région vulvaire ;
  • une sensation de coupure de feuille de papier ;
  • un déchirement durant le coït (sensation d’être déflorée à chaque rapport sexuel) ;
  • dans certains cas, une sensation de « vulve râpée » ou « à vif » ;
  • la sensation d’une lame de rasoir sur la peau.
  • etc.


La peau de la vulve présente souvent une apparence normale, et l’examen clinique démontre l’absence d’anomalie décelable.

Mais la réalité de la douleur n’est pas mise en doute. Il convient de nommer la maladie (vulvodynie) et d’expliquer que c’est actuellement le motif le plus fréquent de consultation dans les centres de pathologie vulvaire. Sachez que ce n’est ni une maladie sexuellement transmissible, ni un cancer, ni un état précurseur de cancer.

Les causes des vulvodynies sont encore inconnues, mais l’on ne saurait affirmer pour autant qu’elles ne sont que « psychologiques ». Cependant, les répercussions psychologiques de cet inconfort chronique doivent néanmoins être prises en compte. Les rapports sexuels douloureux ou impossibles donnent parfois à ces femmes de forts sentiments de culpabilité et d’impuissance. Les examens gynécologiques très douloureux sont également souvent source d’angoisse car, malheureusement, trop peu de médecins connaissent cette affection ou acceptent de la considérer comme une pathologie à part entière.


Comme pour toute douleur chronique, une approche multifactorielle du problème est nécessaire (gynécologique, dermatologique, psychologique, sexuelle). La vulvodynie n’est pas une « maladie incurable ». La majorité des patientes guérissent de leur vulvodynie, l’amélioration se produisant dans des délais variables selon les cas.

Les vulvodynies primaires ou secondaires :

Les vulvodynies peuvent être primaires ou secondaires.

La vulvodynie est dite primaire lorsque la pathologie existe depuis toujours ; elle s’exprime dès le début des contacts vulvaires (premier rapport sexuel ou tentative d’insertion des premiers tampons).

La vulvodynie est dite secondaire lorsque la douleur survient après de nombreuses années vécues sans dyspareunie. L’apparition d’une vulvodynie ou d’une vestibulite vulvaire peut être consécutive à :

  • diverses infections vulvaires (herpès, candidose, HPV) ;

  • une antibiothérapie locale ou générale ;

  • des traitements locaux agressifs (podophylline, acide trichloracétique, laser…) ;

  • une allergie ou une irritation ;

  • l’utilisation abusive de produits cosmétiques (gels douche vaginaux, savons parfumés, crèmes…) ;

  • un choc affectif, une dépression, de l’anxiété, un surmenage ;

  • un accouchement, une épisiotomie, un avortement ;

  • une intervention chirurgicale sur le périnée ou une blessure périnéale ;

  • des règles ;

  • une fluctuation des douleurs lors du cycle menstruel ;

  • l’utilisation de contraceptifs oraux ;

  • des maladies systémiques (syndrome de Sjögren, par exemple).


Des études ont montré que les antécédents d’abus sexuels n’étaient pas plus fréquents chez les femmes souffrant de vulvodynies. Les abus sexuels ne sont donc plus considérés comme étant des causes de vulvodynies.
 

Comment diagnostiquer une vulvodynie ?

 

Le diagnostic de vulvodynie repose sur l’examen clinique. Seul un médecin spécialisé pourra poser un diagnostique sur. Il convient donc, dans tous les cas, de consulter un spécialiste en vulvodynies. Il peut s’agir d’un gynécologue, mais aussi d’un dermatologue ou d’un vénérologue.

D’éventuels examens complémentaires permettront d’écarter toute autre cause ainsi que d’identifier une infection associée, source de majoration occasionnelle ou récurrente de l’inconfort vulvaire (candidose, herpès, infection urinaire).

Si une lésion vulvaire est découverte, il convient de s’assurer qu’elle est pertinente, c’est-à-dire qu’elle explique effectivement l’inconfort vulvaire chronique. 

La Vestibulite vulvaire (ou vestibulodynie)

      Qu’est-ce que la vestibulite ?


La vestibulite est une forme particulière de vulvodynie, la plus fréquente. Littéralement, ce terme signifie « inflammation du vestibule vulvaire ». Certaines études mettraient en cause une « névralgie du nerf pudendal » (affection d’origine nerveuse touchant le nerf pudendal, situé dans une région profonde de la fesse et desservant toute la région pelvienne, donc les zones les plus intimes du corps).

La vestibulite est une pathologie encore trop peu connue qui touche la région inférieure du « vestibule », zone en forme de « fer à cheval » (en rouge sur la carte) entourant l’entrée du vagin.

 

Les vulvodynies peuvent être primaires ou secondaires.

La vulvodynie est dite primaire lorsque la pathologie existe depuis toujours ; elle s’exprime dès le début des contacts vulvaires (premier rapport sexuel ou tentative d’insertion des premiers tampons).

La vulvodynie est dite secondaire lorsque la douleur survient après de nombreuses années vécues sans dyspareunie. L’apparition d’une vulvodynie ou d’une vestibulite vulvaire peut être consécutive à :

  • diverses infections vulvaires (herpès, candidose, HPV) ;

  • une antibiothérapie locale ou générale ;

  • des traitements locaux agressifs (podophylline, acide trichloracétique, laser…) ;

  • une allergie ou une irritation ;

  • l’utilisation abusive de produits cosmétiques (gels douche vaginaux, savons parfumés, crèmes…) ;

  • un choc affectif, une dépression, de l’anxiété, un surmenage ;

  • un accouchement, une épisiotomie, un avortement ;

  • une intervention chirurgicale sur le périnée ou une blessure périnéale ;

  • des règles ;

  • une fluctuation des douleurs lors du cycle menstruel ;

  • l’utilisation de contraceptifs oraux ;

  • des maladies systémiques (syndrome de Sjögren, par exemple).


Des études ont montré que les antécédents d’abus sexuels n’étaient pas plus fréquents chez les femmes souffrant de vulvodynies. Les abus sexuels ne sont donc plus considérés comme étant des causes de vulvodynies. 

  1. Comment diagnostiquer une vulvodynie ?

Le diagnostic de vulvodynie repose sur l’examen clinique. Seul un médecin spécialisé pourra poser un diagnostique sur. Il convient donc, dans tous les cas, de consulter un spécialiste en vulvodynies.(cf. "Professionnels de la santé"). Il peut s’agir d’un gynécologue, mais aussi d’un dermatologue ou d’un vénérologue.

D’éventuels examens complémentaires permettront d’écarter toute autre cause ainsi que d’identifier une infection associée, source de majoration occasionnelle ou récurrente de l’inconfort vulvaire (candidose, herpès, infection urinaire).

Si une lésion vulvaire est découverte, il convient de s’assurer qu’elle est pertinente, c’est-à-dire qu’elle explique effectivement l’inconfort vulvaire chronique.

La Vestibulite vulvaire (ou vestibulodynie)

  1. Qu’est-ce que la vestibulite ?


La vestibulite est une forme particulière de vulvodynie, la plus fréquente. Littéralement, ce terme signifie « inflammation du vestibule vulvaire ». Certaines études mettraient en cause une « névralgie du nerf pudendal » (affection d’origine nerveuse touchant le nerf pudendal, situé dans une région profonde de la fesse et desservant toute la région pelvienne, donc les zones les plus intimes du corps).

La vestibulite est une pathologie encore trop peu connue qui touche la région inférieure du « vestibule », zone en forme de « fer à cheval » (en rouge sur la carte) entourant l’entrée du vagin.

Les vulvodynies peuvent être primaires ou secondaires.

La vulvodynie est dite primaire lorsque la pathologie existe depuis toujours ; elle s’exprime dès le début des contacts vulvaires (premier rapport sexuel ou tentative d’insertion des premiers tampons).

La vulvodynie est dite secondaire lorsque la douleur survient après de nombreuses années vécues sans dyspareunie. L’apparition d’une vulvodynie ou d’une vestibulite vulvaire peut être consécutive à :

  • diverses infections vulvaires (herpès, candidose, HPV) ;

  • une antibiothérapie locale ou générale ;

  • des traitements locaux agressifs (podophylline, acide trichloracétique, laser…) ;

  • une allergie ou une irritation ;

  • l’utilisation abusive de produits cosmétiques (gels douche vaginaux, savons parfumés, crèmes…) ;

  • un choc affectif, une dépression, de l’anxiété, un surmenage ;

  • un accouchement, une épisiotomie, un avortement ;

  • une intervention chirurgicale sur le périnée ou une blessure périnéale ;

  • des règles ;

  • une fluctuation des douleurs lors du cycle menstruel ;

  • l’utilisation de contraceptifs oraux ;

  • des maladies systémiques (syndrome de Sjögren, par exemple).


Des études ont montré que les antécédents d’abus sexuels n’étaient pas plus fréquents chez les femmes souffrant de vulvodynies. Les abus sexuels ne sont donc plus considérés comme étant des causes de vulvodynies.

  1. Comment diagnostiquer une vulvodynie ?

Le diagnostic de vulvodynie repose sur l’examen clinique. Seul un médecin spécialisé pourra poser un diagnostique sur. Il convient donc, dans tous les cas, de consulter un spécialiste en vulvodynies.(cf. "Professionnels de la santé"). Il peut s’agir d’un gynécologue, mais aussi d’un dermatologue ou d’un vénérologue.

D’éventuels examens complémentaires permettront d’écarter toute autre cause ainsi que d’identifier une infection associée, source de majoration occasionnelle ou récurrente de l’inconfort vulvaire (candidose, herpès, infection urinaire).

Si une lésion vulvaire est découverte, il convient de s’assurer qu’elle est pertinente, c’est-à-dire qu’elle explique effectivement l’inconfort vulvaire chronique.

 

La Vestibulite vulvaire (ou vestibulodynie)

  1. Qu’est-ce que la vestibulite ?


La vestibulite est une forme particulière de vulvodynie, la plus fréquente. Littéralement, ce terme signifie « inflammation du vestibule vulvaire ». Certaines études mettraient en cause une « névralgie du nerf pudendal » (affection d’origine nerveuse touchant le nerf pudendal, situé dans une région profonde de la fesse et desservant toute la région pelvienne, donc les zones les plus intimes du corps).

La vestibulite est une pathologie encore trop peu connue qui touche la région inférieure du « vestibule », zone en forme de « fer à cheval » (en rouge sur la carte) entourant l’entrée du vagin.

Les vulvodynies peuvent être primaires ou secondaires.

La vulvodynie est dite primaire lorsque la pathologie existe depuis toujours ; elle s’exprime dès le début des contacts vulvaires (premier rapport sexuel ou tentative d’insertion des premiers tampons).

La vulvodynie est dite secondaire lorsque la douleur survient après de nombreuses années vécues sans dyspareunie. L’apparition d’une vulvodynie ou d’une vestibulite vulvaire peut être consécutive à :

  • diverses infections vulvaires (herpès, candidose, HPV) ;

  • une antibiothérapie locale ou générale ;

  • des traitements locaux agressifs (podophylline, acide trichloracétique, laser…) ;

  • une allergie ou une irritation ;

  • l’utilisation abusive de produits cosmétiques (gels douche vaginaux, savons parfumés, crèmes…) ;

  • un choc affectif, une dépression, de l’anxiété, un surmenage ;

  • un accouchement, une épisiotomie, un avortement ;

  • une intervention chirurgicale sur le périnée ou une blessure périnéale ;

  • des règles ;

  • une fluctuation des douleurs lors du cycle menstruel ;

  • l’utilisation de contraceptifs oraux ;

  • des maladies systémiques (syndrome de Sjögren, par exemple).


Des études ont montré que les antécédents d’abus sexuels n’étaient pas plus fréquents chez les femmes souffrant de vulvodynies. Les abus sexuels ne sont donc plus considérés comme étant des causes de vulvodynies.

  1.  
    1. Comment diagnostiquer une vulvodynie ?

Le diagnostic de vulvodynie repose sur l’examen clinique. Seul un médecin spécialisé pourra poser un diagnostique sur. Il convient donc, dans tous les cas, de consulter un spécialiste en vulvodynies.Il peut s’agir d’un gynécologue, mais aussi d’un dermatologue ou d’un vénérologue.

D’éventuels examens complémentaires permettront d’écarter toute autre cause ainsi que d’identifier une infection associée, source de majoration occasionnelle ou récurrente de l’inconfort vulvaire (candidose, herpès, infection urinaire).

Si une lésion vulvaire est découverte, il convient de s’assurer qu’elle est pertinente, c’est-à-dire qu’elle explique effectivement l’inconfort vulvaire chronique.

 

 

La Vestibulite vulvaire (ou vestibulodynie)

  1. Qu’est-ce que la vestibulite ?


La vestibulite est une forme particulière de vulvodynie, la plus fréquente. Littéralement, ce terme signifie « inflammation du vestibule vulvaire ». Certaines études mettraient en cause une « névralgie du nerf pudendal » (affection d’origine nerveuse touchant le nerf pudendal, situé dans une région profonde de la fesse et desservant toute la région pelvienne, donc les zones les plus intimes du corps).

La vestibulite est une pathologie encore trop peu connue qui touche la région inférieure du « vestibule », zone en forme de « fer à cheval » (en rouge sur la carte) entourant l’entrée du vagin.

Les vulvodynies peuvent être primaires ou secondaires.

La vulvodynie est dite primaire lorsque la pathologie existe depuis toujours ; elle s’exprime dès le début des contacts vulvaires (premier rapport sexuel ou tentative d’insertion des premiers tampons).

La vulvodynie est dite secondaire lorsque la douleur survient après de nombreuses années vécues sans dyspareunie. L’apparition d’une vulvodynie ou d’une vestibulite vulvaire peut être consécutive à :

  • diverses infections vulvaires (herpès, candidose, HPV) ;

  • une antibiothérapie locale ou générale ;

  • des traitements locaux agressifs (podophylline, acide trichloracétique, laser…) ;

  • une allergie ou une irritation ;

  • l’utilisation abusive de produits cosmétiques (gels douche vaginaux, savons parfumés, crèmes…) ;

  • un choc affectif, une dépression, de l’anxiété, un surmenage ;

  • un accouchement, une épisiotomie, un avortement ;

  • une intervention chirurgicale sur le périnée ou une blessure périnéale ;

  • des règles ;

  • une fluctuation des douleurs lors du cycle menstruel ;

  • l’utilisation de contraceptifs oraux ;

  • des maladies systémiques (syndrome de Sjögren, par exemple).


Des études ont montré que les antécédents d’abus sexuels n’étaient pas plus fréquents chez les femmes souffrant de vulvodynies. Les abus sexuels ne sont donc plus considérés comme étant des causes de vulvodynies.

  1.  
    1. Comment diagnostiquer une vulvodynie ?

Le diagnostic de vulvodynie repose sur l’examen clinique. Seul un médecin spécialisé pourra poser un diagnostique sur. Il convient donc, dans tous les cas, de consulter un spécialiste en vulvodynies. Il peut s’agir d’un gynécologue, mais aussi d’un dermatologue ou d’un vénérologue.

D’éventuels examens complémentaires permettront d’écarter toute autre cause ainsi que d’identifier une infection associée, source de majoration occasionnelle ou récurrente de l’inconfort vulvaire (candidose, herpès, infection urinaire).

Si une lésion vulvaire est découverte, il convient de s’assurer qu’elle est pertinente, c’est-à-dire qu’elle explique effectivement l’inconfort vulvaire chronique.

 

 

La Vestibulite vulvaire (ou vestibulodynie)

  1. Qu’est-ce que la vestibulite ?


La vestibulite est une forme particulière de vulvodynie, la plus fréquente. Littéralement, ce terme signifie « inflammation du vestibule vulvaire ». Certaines études mettraient en cause une « névralgie du nerf pudendal » (affection d’origine nerveuse touchant le nerf pudendal, situé dans une région profonde de la fesse et desservant toute la région pelvienne, donc les zones les plus intimes du corps).

La vestibulite est une pathologie encore trop peu connue qui touche la région inférieure du « vestibule », zone en forme de « fer à cheval » (en rouge sur la carte) entourant l’entrée du vagin.

 

 

 

                                                     Schéma de face d’une vulve

                                         (en rouge, zone touchée par la vestibulite)

 

 

N.B. : chaque vulve étant différente, le vestibule n’est pas toujours facile à identifier par soi-même, la zone en rouge ci-dessus pouvant être beaucoup plus étroite.


Les femmes atteintes de vestibulite vulvaire sont moins sujettes aux douleurs chroniques que les femmes atteintes des autres formes de vulvodynies ; dans le cas de la vestibulite, la douleur est généralement engendrée lors d’un contact physique avec la région vulvaire.

La vestibulite se traduit par une douleur localisée. Celle-ci peut se manifester soit lors de tout contact (rapports sexuels, port d’un vêtement trop serré, position assise prolongée, etc.), soit uniquement lors d’une tentative de pénétration.

En général, elle provoque une douleur intense lors des rapports sexuels et, le plus souvent, lors de l’introduction de tout corps étranger dans le vagin (doigt, tampon périodique, etc.). La douleur se situe entre les petites lèvres et l’entrée du vagin. Les femmes atteintes de vestibulite comparent leur douleur à celle d’une brûlure, de « coups de couteaux » ou encore à la sensation de perdre leur virginité à chaque rapport sexuel.

La vestibulite peut être primaire ou secondaire. Si les symptômes apparaissent dès les premiers rapports, il s’agit d’une vestibulite primaire. S’ils surviennent après une période d’activité sexuelle « normale », on parle de vestibulite secondaire.

 

Comment diagnostiquer une vestibulite ?

 

Il est très simple de diagnostiquer une vestibulite grâce au « test du Q-tip », ou « test du Coton-Tige ». Il vaut mieux réaliser ce test de préférence après avoir écarté toute hypothèse d’infection, de mycose, etc.

Le test consiste à poser un Coton-Tige sur le vestibule. Si la douleur est immédiate, le test est positif. Les médecins qualifient cette douleur de « douleur exquise », ce qui veut dire « douleur très localisée ».

Il est important de préciser que seul le test du Coton-Tige permet de déceler une vestibulite. En dehors de ce test, l’examen gynécologique s’avère être totalement normal.

 

Causes de la vestibulite :

 

Les causes de la vestibulite sont multiples et divisent encore les médecins. Parmi les plus crédibles, on trouve les vaginites (champignons ou mycoses) à répétition, la prise de la pilule trop précoce ou prolongée, des allergies ou encore une densité nerveuse au niveau du vestibule plus élevée que la normale.

Nous insistons sur le fait que les troubles psychologiques sont une conséquence, et non une cause de la vestibulite.



10/10/2010
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